2017/11/20. MADAME BOULAIRE-JE-SUIS-PARTOUT, MADAME BOULAIRE-JE-SUIS-PARTOUT, MADAME BOULAIRE-JE-SUIS-PARTOUT
HÉLAS! PLUS DE COLCHIQUES DANS LE PRÉ-CARRÉ
DE LA LITTÉRATURE POUR LA JEUNESSE
MAIS, PAR CONTRE
UNE MERE FOUETTARDE,TOURANGELLE, QUI A DES CHOUCHOUS
J’avais autrefois essuyé les contrevérités d’Anne Rabany la “Madame-jesuispartout” aux dents longues qui officiait au CRILJ parisien, à Média-dix et dans une des université de Toulouse et pensai que, désormais, mais à tort, à force de mensonges et d’énormités, Mme Rabany avait fini par supplanter toutes ses consœurs rivales qui pratiquaient les mêmes approximations pseudo-scientifiques dans les rouages de La Joieparleslivres, le CNLJ et même, choses presque incompréhensible à la BNF et que place était enfin laissée à des chercheurs-chercheuses en Littérature de Jeunesse, responsables, capables honnêtement, et en toute objectivité, d’analyses critiques, émancipées des dictats imposés, au nom de la défense d’une littérature typiquement “enfantine”, par les multinationales franco-américaines.
Mais je me trompais, car une autre “Madame jesuispartout” est sortie de l’ombre pour rivaliser avec Madame Rabany ou, allez savoir, pour l’épauler peut-être et reconstituer le clan de femmes qu’avait autrefois réussi à regrouper autour d'elle Geneviève Patte. Il s’agit d’une certaine Madame Boulaire, de son prénom Cécile qui, comme son nom le laisse supposer déplace pas mal d’air depuis un petit moment déjà – depuis la mort de Michèle Piquard en juin 2012 exactement– pour accroitre, nourrir et satisfaire sa boulimie de rayonnement impérial sur le royaume des productions pour la jeunesse et pour se placer sur orbite de la congrégation BNF-Joieparles livres-CNLJ.
Pour justifier ma colère et ma désapprobation je citerai deux paragraphes faisant partie d'écrits de Mme Boulaire, l'un tiré d'un de ses livres, “qu'elle s'est publié elle-même” dans le secteur des Presses Universitaires de Tours qu'elle dirige, glorifiant Les Petits livres d'or et l'autre d'un de ses articles intitulé le beau et le moche dans l'album pour enfants.
Remettre les choses en place dans le temps me paraît important. Ce que ne sait pas faire, vu ses prétentions et son arrogance, causes toutes deux de son inconscience, Mme Boulaire-jesuispartout. Parlant de cette collection des Petits livres d'or – alors qu'ils m'ont toujours parus en toc dès ma prise en fonction dans l'enseignement en 1950 –, et pour clamer leurs mérite, alors qu'ils ont été édités en 1942, aux États-Unis par Simon and Schuster et la multinationale Westhern Publishing International Compagny, Mme Boulaire, oubliant de considérer les différences d'époques, n'hésite pas à se servir de moi et des livres que j'ai publiés à partir de 1967, en oubliant, par lâcheté, de tenir compte et de citer les auteurs et les illustrateurs qui ont été mes collaborateurs, pour asséner ses avis d'une manière tellement outrancière qu'on est en droit de se demander ce que j'ai bien pu lui faire pour tant lui déplaire alors que nous ne nous sommes jamais rencontrés.
Madame Boulaire-jesuispartout dit : «l'immense majorité de ce qui s'écrit feint d'ignorer que l'album existe avant les outrances de François Ruy-Vidal en 1967 (page 236 ou 237)»...«et que le choix d'improbables couleurs flashantes dont François Ruy-Vidal, à grands renfort de formules choc, fit sa marque de fabrique à partir de 1967...
Bond de sept lieues et bien plus dans l'arrière temps, ces petits livres d'or incontournables, présents dans les trois petites bibliothèques de chacune de mes trois nièces en Californie quand je leur rendis visite pour la première fois en 1966, me ramenaient toujours, par comparaison systématique à mes lectures en 1942, alors qu’à peine âgé de 11 ans, je vivais en Algérie dans un petit village d’une centaine d’habitants, sans livres, sinon un seul manuel de lecture, le Mironeau qui nous dispensait de merveilleux textes de Victor Hugo, Gustave Flaubert, Alphonse de Lamartine, Mme de Sévigné, Shakespeare, Tolstoï, Cervantès …lectures qui me communiquèrent la passion de la lecture et la passion de la littérature.
Un retour sur soi dont Mme Boulaire, qui cache soigneusement son âge, est vraisemblablement incapable!... puisqu'à l'évidence, pour mieux convaincre son lectorat de ses arguments en faveurs de ces petits livres en toc, elle supprime le décalage dans le temps qui sépare 1942 de1967, date où parurent, chez quelques libraires dit indépendants, 500 à peu près pour toute la France, les premiers livres que je publiai, soit 25 ans au total qu’elle escamote pour mieux asséner sa démonstration truquée.
Dans le second des écrits de Mme Boulaire, tiré d’un de ses article Le beau et le moche dans l’album pour enfants, elle dit encore en poursuivant sa haine : «Cependant, très rapidement, les éditions Harlin Quist vont habituer les adultes à une violence inédite dans l’album, et ce, grâce à une politique qui mêle production éditoriale audacieuse et médiatisation tapageuse (on se souvient de la controverse par voie de presse avec Françoise Dolto). Cette provocation ouverte perturbe suffisamment les repères esthétiques pour que le regard porté sur l’ensemble des albums de ces années-là se fasse moins sage, et que la violence chromatique ou graphique soit acceptée, puis appréciée pour son intérêt esthétique.»
De quoi se demander, après un tel éreintement, si “mes outrances”, ne sont pas, compte tenu des risques que je pris et des ennuis qu'ils m'en coûtèrent, minorables et contextuellement explicables en fonction de celles radicales et péremptoires dont Mme-jesuispartout, en fonctionnaire commentariste raplapla, use habilement pour mieux cirer les pompes des éditions Hachette qui exploitent maintenant ces Petits livres d’or.
Et de s'interroger aussi pour savoir si les outrances que Mme Boulaire me prête ne sont pas des éléments de son équation personnelle présentes d'abord et surtout dans son esprit pour devenir ensuite projections en miroir d'elle-même –on n'explique les autres qu'à partir de soi!–, de sa nature individuelle et de son tempérament excessif de femme frustrée et en mal d'équilibre sentimental et psychique.
A en croire Mme Boulaire, assoiffée certainement de médiatisation pour satisfaire sa boulimie de notoriété, qui croit devoir en mettre partout et qui va jusqu'à se médiatiser elle-même généreusement dans son propre fief –j"ai pu le vérifier : elle assure elle-même ses you tubes! –, la médiatisation, dont j’ai été victime, relèverait, selon son interprétation, non pas des médias téléguidées par les grands groupes d'édition mais de ma propre puissance d'orchestration.
Voyez-vous ça ! Encore une explication qui, trahissant la conception que Mme Boulaire a de l'intégrité de la critique et de la presse, la révèle elle-même et explique ses propres manipulations dans son fief de Tours!
Pour moi, en tout cas, je vois là des aveux clairement signifiés de sa malhonnêteté. Et à quelle aune de véracité on peut mesurer l’objectivité de ses capacités d’historienne!
Quoi qu'il en soit, à peser mes outrances d'il y a cinquante ans maintenant, tirées à 1500 exemplaires et épuisées depuis ce temps, je me permets de demander au lecteur de faire l’effort d’imaginer les profits que, par contrepoids, les outrances de Mme Boulaire vont rapporter au trust Hachette exploitant désormais des livres encensés par elle alors qu'il est, en plus d'être le producteur de ces livres, actionnaire de plus de 25 000 lieux de vente : librairies-bureaux de tabacs-épiceries en France !
La question que je me pose et que je pose aux lecteurs de ce blog est : Est-ce que Mme Boulaire-jesuispartout mérite bien, en fonction de ces outrances catégoriques et de sa volonté manifeste d’imposer ses critères personnels à base de jugements systématiques, sa position d’enseignante dans une Université française?...
Et question corollaire: est-ce que Mme Boulaire-jesuispartout mérite bien les soutiens nationaux de la BNF et du CNLJ ?...
Encore qu’on puisse, pour essayer de comprendre les outrances de types organiques et physiologiques de Mme Boulaire, penser qu’en fonction de son âge et de tout ce qu’elle n’a pas vécu– mais qui m’a construit moi, vieux pépé presque nonagénaire –, elle puisse décider que les étudiants-tes d’aujourd’hui, tant ils et elles sont sollicités-ées et sur-informés-ées par les réseaux sociaux, ne méritent plus que leurs enseignants-tes, lot dont Mme Boulaire fait partie, prennent des gants pour les inciter, en matière d’analyse critique de la littérature pour la jeunesse, à des évaluations et des jugements de valeur mesurés, contextualisés, recoupés et historiquement objectifs…
Non, je n’y suis pas, à tenter de remettre les pendules à l’heure je remonte trop loin dans le temps : à Marc Soriano en 1969 et je m’égare : il y a tant de volonté en cette Mme Boulaire-jesuislareine du pré-carré de la littérature pour la jeunesse, de nous convaincre que ce qu’elle dit est incontestable, qu’il faut bien en conclure que mieux et plus fort elle imposera ses jugements, fussent-ils erronés, sans nuances et falsifiés, et mieux elle imposera à ses élèves, à la galerie, à la congrégation BNF-Joieparleslivres-CNLJ et au monde entier qu’elle est bien l’omnipotente actuelle de la littérature pour la jeunesse de ce premier quart du 21ème siècle.
Sa tactique est simple et très efficace : ne pas s’embarrasser de scrupules, de nuances et encore moins de considérations contextuelles lorsqu’il s’agit de petits éditeurs comme moi qui ont tenté de renouveler les dentelles layette du genre “littérature enfantine” puisqu’il s’agit d’encenser, au nom d’une déontologie établie à partir de critères et d’arguments pseudoscientifiques qualifiés d’incontestables et d’inaliénables parce qu’universitaires, les puissants éditeurs regroupés en trusts internationaux du pré-carré, pour mieux être accréditée par la congrégation BNF-Joieparleslivres-CNLJ.
Tactique radicalement binaire, selon le B and B : Boulaire-Binaire, qui permet à Mme la mère fouettarde, certes de flageller et fustiger à tour de bras les livres que j’ai publiés mais pour mieux donner des caramels au beurre salé à ses petits chouchous de Rodez et à la révérende Mme Dasturgue – celle qui prétend n’avoir jamais entendu parler de moi ni des plusieurs campagnes de sensibilisation en faveur de la lecture auxquelles j’ai participé à Rodez même et dans toutes les bibliothèques de la région, au cours des années 70, programmées par Jean-Claude et Aline Camboulives responsables de l’UFOLÉA de la région– .
Une tactique tellement grossière qu’elle dénonce la carence en subtilité d’esprit de cette dame qui voulant démontrer qu’elle est bien la Madamejesuispartout de la littérature pour la jeunesse, ne fait que nous convaincre qu’elle n’en est, pleine de vents, que la Madamejeplanepartout de l’analyse critique des livres pour la jeunesse .
On peut la comprendre : pour avoir un rôle dans ce pré-carré, lorsqu’on veut s’imposer analyste-critique, il s’agit en tout premier lieu de se faire admettre de ceux qui en détiennent les clés d’entrée, c’est-à-dire de se faire bien voir de ces ouvreurs et ouvreuses de portes qui peuvent vous introduire, ou non, auprès et parmi les chantres et les druidesses de la grande congrégation BNF-Joieparleslivres-CNLJ, elle-même n’étant que l’antichambre des ordonnanciers-teneurs en capitaux des multinationales de l’édition, associés, par intérêts économiques nationaux, aux gouvernements en place.
Le système qui ne date pas d’hier a fait ses preuves. Son alibi est en béton : il s’agit de faire entrer la jeunesse, sous le prétexte du bon sens et de la normalité, dans le droit fil de la civilisation conformiste qui marche au pas. Et, il ne s’agit plus alors, pour les prétendants – et les prétendantes beaucoup plus nombreuses sur l’échiquier– à cet office de canalisateurs reconducteurs-reconductrices des valeurs généralistes qui satisfont la pensée dominante et l’opinion publique, de “se faire bien voir”, de prôner les vieilles recettes pour se faire admettre, afin d’encenser ceux qui ont le vent de la notoriété en poupe, de ne pas dire un mot plus haut que l’autre, hormis le ronron du bon sens et surtout, surtout, de ne jamais semer de doutes dans l’esprit des jeunes générations, sur le bien-fondé des livres matefaim que les grands manitous du système éditorial français, ont fabriqué pour que le peuple paisse et rumine en paix, en se sentant protégé, rassuré, “relax” et rassasié.
Il s’agit, comme on peut le comprendre, de ne pas voir le mal partout et de ne pas écouter les trouble-fêtes : «nous vivons dans un monde merveilleux où il faut savoir dire merci et respecter ces pouvoirs d’argent qui nous instruisent presque gratuitement et leur merchandising qui nous met dans la bouche, pour notre bien et quoi qu’on puisse en penser, même ce dont nous ne soupçonnerions pas avoir besoin et même ce dont nous n’avons pas envie»… Bref, lorsqu’on veut être bien considéré-rée dans le labyrinthe du pré-carré de l’industrie des multinationales de l’édition, il faut non seulement fermer sa gueule sur les dérèglements abusifs qu'on y constate, mais adhérer – car ils nous le disent et nous devons les croire – aux conditionnements qui nous sont offerts, pour quatre sous à peine, afin que tous nos enfants, soient également formatés comme de bons petits soldats obéissants, et ce, pour leur bien, et pour l’avenir qu’ils nous préparent.
Ce en quoi et pourquoi je me suis senti en droit de m’insurger dès les années 50 et continue de m’insurger encore aujourd’hui mais en souriant de tristesse. Puisqu’il me semble que ce formatage des esprits n’est pas mis en place pour contribuer à aider les meilleurs d’entre les enfants du peuple en fonction de leurs capacités à accéder aux meilleurs postes nationaux de gouvernement et pour un meilleur avenir à construire, mais plutôt et seulement pour favoriser les nés-coiffés, les fils de… au nom d’une foi ségrégationniste en l’intelligence, le mérite et la supériorité des classes bourgeoises riches et, parce que riches, jugées supérieures
J’avais déjà eu l’occasion de constater dans l’ascension de Geneviève Patte vers les postes de pouvoir, la stratégie de docilité et de soumission qu’elle avait adoptée vis-à-vis des multinationales et je retrouve, navré, la même stratégie, calquée à l'identique en Mme Boulaire-jeplanepartout, qui me fait désespérer de la force, de l'intégrité et de la volonté des femmes qui s'occupent et s'accaparent de la littérature de jeunesse. la tactique de Mademoiselle Patte et de Mme Boulaire, siamoises en stratégie, semble immuable : l’asservissement envers les grands trusts accompli, l’accréditation des trois organismes institutionnels “BNF-Joieparleslivres-CNLJ” étant de ce fait dans la poche, il ne reste plus qu’à étendre, par diverses voies, dont le discrédit de certaines personnes et de certaines options d'édition sont de bons moteurs de propulsion, son rayonnement sur le commun des mortels : ces prescripteurs-trices divers et diverses parmi lesquels les parents d’enfants en âge d’apprendre à lire, souvent mal, ou sous-informés, des implications qu’ont les multinationales d’édition et de diffusion-distribution avec les organes d’information et de communication, pour avoir le bonheur d’être sacralisée par l’opinion publique.
Mme Boulaire a de quoi être satisfaite. Elle qui bénéficie des meilleurs titres honorifiques dans sa profession, peut disposer à son gré des budgets de son Université tourangelle pour publier la moindre de ses enquêtes et leur donner l’apparence de livres édités par un éditeur public et ainsi, sans la moindre inquiétude sur le bienfondé de son statut et de ses prétentieuses prérogatives, peut même se flatter d’avoir gagné sur toute la ligne et séduit la terre entière.
Je dirais même mieux : accréditée, autorisée, sanctifiée, sacralisée, Mme Boulaire la binaire passe même aux yeux de l’opinion publique pour la reine des abeilles.
Plusieurs personnes de mes amis, de mon entourage et même simplement de mon métier m’ont, à diverses reprises, à compter des années 2000, alerté sur les avis intempestifs, inconsidérés, de type instinctifs et pulsionnels que Mme Boulaire émettaient pour qualifier en bloc, d’une manière générale et radicale, tous les livres que j’avais publiés, sans que je puisse alors, en raison de soucis de santé personnels et familiaux graves, prendre le temps de rétorquer, de rectifier et de renvoyer Mme Boulaire à ses maîtres et maîtresses en déontologie que furent Marc Soriano et Michèle Piquard, dont elle usurpe la succession, et que sont encore Isabelle Nières-Chevrel, Jean Perrot, Annie Renonciat…
Mme Boulaire ne se prive de rien. En pisseuse d’encre, elle traite de tous les sujets, pille tous ceux qui les ont traités avant elle, mais, pour laisser penser qu’elle est seule à régner, évite soigneusement de les citer. Ou mieux même, pas bête l’arriviste, très habilement, dans d’autres rubriques bien distinctes, elle les discrédite pour paraître en définitive seule, la première, à avoir ouvert le filon.
Ce qui me permet de dire que Madamejesuispartout ne traite pas les sujets mais qu’elle les énumère, qu’elle les évente puis s’esquive immédiatement quand elle a décelé une odeur de souffre dont elle pourrait pâtir, dès après les avoir amorcés pour ne pas avoir à déplaire en les traitant. Sa formule récurrente d’esquive est : «Ce n’est pas le lieu ici de s’étendre sur cette double question, mais elle mériterait d’être approfondie.»
Par contre, à l’opposé, elle ne s’impose aucune limite à citer et sanctifier toute personne et toute production qui pourrait lui servir à monter en grade, soit dans la hiérarchie administrative de la congrégation “BNF-Joieparleslivres-CNLJ”, soit parmi les grands éditeurs qui ont pignon sur rue, soit en se mettant à quatre pattes pour s’octroyer la bénédiction de l’opinion publique. Là, pour le coup, on y va le plus servilement du monde jusqu’à dire que tout ce qui fut fait et tout ce qui se préconise est parfait, y compris les collusions manifestes de Geneviève Patte avec les productions à un sou, éditées par des multinationales américaines et importées en France, dont on nous a copieusement gratifié depuis les Petits livres d’or et les adaptations éhontées de nos contes traditionnels accompagnés des illustrations mièvres de Paul Caldone, dans la collection “aux couleurs du temps”. Productions propres à décourager nos enfants non seulement de ce qu’est la littérature mais aussi de la lecture au sens plein et noble du terme.
Pour ne citer ici que quelques preuves des usurpations de plagiaire et de négationniste que Mme Boulaire-Binaire-jeplanepartout se permet, je rappellerai une fois encore son article sur “le beau et le moche dans l’album pour enfants” et ne relèverai que le passage qui, sans qu’elle me cite puisque mon nom lui écorcherait la bouche quand il s'agit de m'accorder une initiative méritante, l’incite à mentionner “les livres illustrés de faux dessins d’enfants”, sans dire que j’ai été le premier et le seul à mettre cette option d’édition traditionnelle de par le monde en accusation, en affirmant qu’elle était abêtissante, qu’elle ne visait qu’au formatage et à l’infantilisation des esprits...
Critiques négatives que Mme Boulaire s'interdit de faire, sous prétexte de neutralité scientifique et sans se risquer à avouer – là est la perfidie de Mme Boulaire-Binaire – que cette option éditoriale, même si elle a le soutien, par ignorance et par habitude inconsidérée, de l’opinion majoritaire, est celle la plus couramment pratiquée par les multinationales franco-américaines, à seules fins, avant tout, de pure exploitation économique, mais sans aucun souci des conséquences néfastes et du préjudice que cette option de lecture de divertissement facile cause à la littérature, art d’expression, en nuisant au principe même de la lecture qui, en accord avec cette notion de littérature, à partir de textes d’écrivains, peut seule inciter les jeunes lecteurs à de réels efforts d’appréhension, de concentration et de réflexion indispensables à leur individuation.
François Ruy-Vidal
24/11/2017
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